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Comment on fait ....
Lorsqu'on est tiré au sort pour être juré à la cour d'assise et que l'on doit juger des affaires de tripotages, de viols, de meurtres sur des mineurs.
Comment on fait pour rester là, calme et ouvert, à écouter les récits des uns, les arguments des autres alors qu'l'on a, à la base, aucune tolérance envers l'auteur des actes... Est ce que le crier haut et fort, dénonce une déficience mentale ouvrant la porte à une révocation, préférable, à un refus d'obtempérer qui coûte "bonbon" ?
J'm'inquiète, j'me questionne ! plusieurs autour de moi ont été choisis depuis quelque temps et franchement j'les envie pas ...26/04/16
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Se penser intellectuellement supérieur(e) aux autres ... N'empêche nullement d'avoir l'air "con" sur un chiotte ...
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Bonjour, ami lointaine,
Oui, je me réveille ! Et alors,qu'après un silence bien involontaire, du à de nombreuses perturbations de tous genres, je découvre en vos lignes quelque chose qui ressemble à un cri de détresse. Oui, comment fait-on pour ne pas avoir envie de hurler qu'un simple citoyen ne peut juger certains faits parmi les plus odieux ? Sinon l'envie de condamner sans passer par la case défense qui de toute façon s'ingéniera à dénoncer l'innocence du coupable? Dans quel état d'esprit ressort-on d'une telle expérience? Comment poursuivre une vie ordinaire après avoir écouté les joutes des uns et les dénis des autres? Nous ne sommes pas préparés à vivre de tels moments, tandis que notre propre entendement nous souffle que nous devons choisir une condamnation exemplaire et expéditive ?
Bref, je comprends le " j'les envie pas". Même pas les larmes qui à un moment ou à un autre essaieront d'occuper les yeux afin de rendre le spectacle le plus fou possible. Ecouter les uns, entendre les autres devraient être suffisant sans que l'on ai l'obligation de chercher au fond des yeux la vérité et les non-dits, les mensonges et le déguisement volontaire des personnalités. Et puis, plus graves encore, comment ne pas tomber dans le piège des manipulations ?
Chez nous, chère amie, il est 02h 20. La nuit est étouffante car orageuse. Il est vrai que nous sommes au cœur de la saison des pluies. Cependant, je crois que nous pourrions débattre jusqu'au petit matin d'un sujet auquel on nous mêle malgré nous et duquel on ne peut fuir, sinon à cause de la maladie ou d'une parenté avec le ou les mis en cause.
Tout autre chose ; concernant l'autre blog, pour l'instant, c'est le calme plat. Je ne parviens pas à faire ce que je veux et pour vous dire, je ni le temps ni le désir de passer ma colère sur un outil que je ne maîtrise pas parfaitement. Eklat, pour l'instant ne me déçoit pas plus que les autres plateformes, nous verrons bien plus tard.
Voilà, résumée en quelques mots, la situation d'un gars qui en vit en forêt, loin de toutes les misères du monde, même si en fait elle est à ma porte, et plus près encore sur mon écran à me narguer.
Cela ne m'empêche pas de vous adresser d'amicales pensées, amie lointaine et vous dit bon courage pour affronter une réalité qui s'effiloche un peu plus chaque jour.
Je n'sais pas dans quel état d'esprit on se trouve après ... Quelques nuits sans pouvoir dormir , quelques nuits à revivre l'instant. J'ai bien fait, pas bien fait ... Trier le mensonge
de la vérité, éviter le "oui mais" qui fait douter ...
Bref! Concernant le site de blogs, celui ci est bien mais j'ai déjà eu la mauvaise
surprise ailleurs, de voir, du jour au lendemain un site fermer. Bien sur, il a laissé le temps
à ses membres de sauvegarder sauf qu' en fait... dans les consignes qu'il nous a donné ...
Personne n'a rien sauvegardé mis à part les logos et autres bagatelles peu interessantes.
La leçon a été retenue et à l'annonce du tangage d'ekla , j'ai préféré en ouvrir un autre qui se trouve être un semblant de jumeau de celui ci. Je n'ai pas tout transféré, la plupart des articles fonctionnant avec l'actualité du moment ...
Voilà, voilà ...
Bonne journée à vous .